elle s'appelle maëline et représente un formidable espoir pour des milliers de couples en souffrances.l'enfant a été conçue par maturation in vitro, une technique peu répandue, complémentaire de la fécondation in vitro au centre d'assistance médicale à la procréation de grenoble-belledonne.une première pour le centre isérois, l'un des rares qui soit habilité dns ce domaine avc lyon,marseille et clamart.
alors FIV,MIV, quelles différences?le principe de la maturation in vitro consiste à prélever, sous anesthésie,des ovocytes à un stade précoce et à les faire"mûrir"pendant 28 heures en laboratoire dns un milieu de culture adapté.une fois fécondés dns une éprouvette, les ovules sont alors réimplantés dns l'utérus comme une FIV ouICSI classique.si la technique se révèle plus asteignantepour le laboratoire, l'avantage pour les patientes est loin d'être négligeable.comme l'explique le docteur jacquet, médecin biologiste et directeur du laboratoire AMP, "au delà de la diminution du coût des traitements hormonaux, cette technique de maturation ds ovocytes ne nécessite pas de stimulation ovarienne et, ,de ce fait,ne présente pas de risque d'hyperstimulation grave pour les patientes".presque un confort, pourrait-on dire, lorsque la FIV, pour produire rapidement et en quantité suffsante des ovules mûrs, nécessite des injections quotidiennes d'hormones sur une durée d'environ trois semaines avc les aléas qu'elles occasionnet : douleurs, vomissements...
pour autant, aussi prometteuse soit-elle, la MIV, considérée à tort ou à raison comme la tentative de la dernière chance, ne s'applique aujourd'hui qu'à certains cas limités d'infertilité, et précisément à des patientes à rique élevé d'hyperstimulation ovarienne ou présentant un syndrome des ovaire polykystiques.